Gestalt-thérapie & Spiritualité

Intérêt de la méditation

 

 


Méditation thérapeutique de pleine conscience

Thérapeutique "miracle" du 21e siècle, née il y a pourtant plus de 3000 ans avec le védanta

 

Depuis son origine, le but de la méditation est la libération de la souffrance. Nous souffrons tous, du stress ou du petit mal aux pieds jusqu’aux grandes douleurs physiques ou psychologiques.
 

Les effets de techniques de méditation bouddhistes ont aujourd’hui fait leurs preuves, si bien que ces méditations sont en voie d’utilisation croissante par des psychiatres et psychologues qui travaillent avec les thérapies cognitive et comportementales. On les pratique désormais à l’hôpital comme en centre bouddhiste.

Rappelons que le bouddhisme peut être entendu comme : « Méthode expérimentale et scientifique de l’étude de l’esprit, dont le but est l’achèvement de la Souffrance, notre condition humaine. »


La méditation vise à développer la pleine conscience lucide dans l’instant présent, ce qui va totalement à l’encontre de la production anarchique et discursive des pensées issues de notre ego (moi).

Cet ego, ce « mental » fonctionne comme un disque dur, souvent à notre insu, et lorsqu’on veut l’arrêter nous prenons conscience que c’est très difficile et qu’il fonctionne de façon autonome indépendamment de notre volonté. Il semble n’en faire qu’à sa tête et parait parfois gouverner l’ensemble de notre personnalité. Nous ne serions que peu conscients de ce pilote automatique.
Or c’est lorsque cela va mal que nos pensées s’emballent. La souffrance vient des pensées du mental. Cette production anarchique de pensées souvent déplaisantes, stériles, infantilisantes, rigides, déstructurantes, castratrices, à la production épuisante, est à l’origine des surproductions cognitives qui entrainent les troubles anxieux, les troubles dépressifs, les troubles de l’humeur et toute la pathologie existentielle en somme, c'est-à-dire l’ensemble des pensées, émotions perturbatrices et comportements qui mènent à la souffrance de soi et d’autrui. Lorsque nous avons des pensées, c’est l’attention que nous prêtons à ces pensées qui les renforcent. 

 

La méditation thérapeutique est essentiellement une activité expérimentale qui aide à reprendre le contrôle de soi.


Elle réintègre des dimensions oubliées mais essentielles de notre être que sont le corps locomoteur, le corps viscéral, les ressentis et les émotions. Avec elle nous effectuons plus facilement et simplement ce que nous avons à faire dans la vie quotidienne, sans être sans cesse interrompus, dispersés, captés ou contrés par les pensées indésirables de notre tête ou par autrui.

Vivons nous plus avec notre ventre, nos pieds ou avec notre tête ? Nous faisons notre toilette corporelle tous les matins ; faisons nous notre toilette émotionnelle et mentale ?

 
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 - La méditation pratiquée de façon quotidienne apporte une kyrielle d'éffets bénéfiques tant somatiques que psychologiques et sociaux. Elle provoque pour cela une augmentation de la santé holistique ainsi qu'une involution de la vulnérabilité et de la maladie.
 

 J'ai découvert la méditation tibétaine en 2000 et j'en ai fait une pratique quotidienne.
Formé aux approches tibétaines, aux méditations d'Arnaud Desjardins comme aux méditations actives d'Osho ou des traditions ancestrales,
je vous propose cet outil de remise au calme et de connaissance de soi depuis 2005.

 

FORMATION

Variable en fonction de l’assimilation de la personne, la durée de cet apprentissage dure une dizaine de séances.
Il appartient ensuite à la personne de méditer de façon régulière en toute autonomie, pour l'entretien de sa santé, l'amélioration ou la prévention des rechutes morbides.


STAGES

Durant une journée ou un week-end, nous aborderons l'historique de la méditation, le sens qu'elle a, les obstacles à surmonter, et nous nous familiariserons avec des méditations assises comme actives, en salle comme dans la nature.
Ces séquences seront ponctuées de feed-back, d'apports théoriques et de séquences de questions/réponses.
 

Cet apprentissage n’a pas vocation à se substituer à un traitement médical.

 

JJ.EB